Souvenirs... écrit en 2004
Rappelle-toi ce monde
Qu’ensemble nous imaginions
Un monde de paix et d’amour
Un monde où le mot guerre
Brillait par son absence
Rappelle-toi et n’oublie pas
Tout ce temps passé
A espérer
Qu’un jour notre amour
Pourrions offrir
Mais une peur nous tenaillait
Celle que notre cœur
Personne ne puisse le conquérir
Ah, que tes beaux yeux noisettes
Me rappellent de beaux souvenirs
Me rappellent tous nos rires
Comme les enfants que nous étions
Comme une petite fille à qui une poupée est offerte
Je me souviendrai toujours
Quand ensemble nous jouions
Quand le soleil aux rayons d’or
Nous inondait de sa chaleur bienfaisante
Je n’oublierai jamais
Et dire que maintenant
Tout cela ne rime qu’avec le mot passé
Désormais l’âge s’est épris de nous
Et hier soir le trou noir t’a recueilli
Comme un petit oiseau
Dans les draps de l’infini
Maintenant je suis seule
Avec seule compagnie
Nos mêmes souvenirs
Que nous ne pouvons partager
Faute du destin
***
Avec la variante
***
Dans les rayons du soleil
En cette fin d’après-midi
Je perçois au loin
A travers les rayons du soleil
Ce que nous chérissons le plus
Ce dont nous avons tous rêvé
Sans pour autant osé l’avouer
Un monde parfait, un monde de paix
Ah, quel royal mot qu’est ce dernier
Ennemi de la guerre
Chose immonde
Dont nous souffrons encore aujourd’hui
Chose immonde qui a conquit
La famille, les amis
Un monde parfait, un monde de paix
Certains en ignorent-ils le sens ?
C’est simple, je vais vous l’expliquer
Par les autres termes que sont l’entente
Et l’amitié
Ne serait-il pas plus simple
D’oublier toutes nos querelles
Afin de former
Ce dont nous avons toujours rêvé ?
Certains souhaitent en connaître la recette ?
Sa simplicité en est déconcertante
Je reprendrai la phrase bien connue
« Aimez-vous les uns les autres »