c'est comme ces adieux lancés sur la route bitumée d'étoile,vers laquelle on s'avance<br />
melancoliquement humble avec dans les pensées cette paisible nonchalance qui<br />
illumine parfois nos visages, ' le coeur du temps' vient carresser tes sens que s'en<br />
est magistral,puis soudain il y a dans l'air atone des passages aphones que j'emprunte<br />
en apnée les doigts crispés sur le fil d'ariane tréssé d'anémones ,là dans les profondeurs<br />
abyssales des chants cétacés ma vague déferlante vient fracasser ton corps d'épousée.