Bof, bof, mauvais

Voilà qu’au lieu de réviser avec ardeur mes devoirs de fin de semaine, je viens écrire ici. Oui, je sais bien que ce blog n’a pas pour idée de départ, les « petites histoires d’ados » mais c’est un bon moyen de se « décharger ». Moui, cela détend, lorsque l’on en veut au reste du monde ou que tout simplement on le trouve stupide et incohérent (et que l’on se félicite mentalement de ne pas lui avoir donné l’adresse de ce site). Voilà, MLP va faire son « petit coup de gueule » de la journée… qui paradoxalement prend sa source dans la soirée d’hier.

Commencement, commencement, je déteste le McDo, c’est gras, ça coule, et c’est pas bon, mais passons.

Je crois que je vais aller remercier mes parents, qui ont su me rattraper avec que je me jette sans réfléchir dans une filière littéraire qui m’aurait permis de devenir prof. Prof… Grrr, séparément, j’adore, mais en troupeau ma foi, j’aime pas. Non, ce n’est même pas une question de mauvaise volonté mais tout simplement de constatation.   « En groupe on est con », dit l’autre (Qui qu’a dit ça ?), et je confirme ! Non, je l’ai déjà dit que ce n’était pas de la mauvaise volonté mais bon… Alors d’abord, ça rit aux éclats, ça se fait remarquer « j’me marre, j’suis heureux, tout va bien, allez les jeunes, r’gardez ». Mouais. Tant mieux pour vous,  nous aussi. Puis quand on part bien, faut continuer. Alors quand on est un mâle homme benh c’est comme ça, faut se montrer « mouais, j’suis un beau gosse, allez r’gardez moi les filles » et on est content, parce que nous, les filles, il nous en faut peu, alors on démarre au quart de tour « Waou !!! » o_O… Mouais, je suis sceptique, je l’écrivais déjà dans un de mes précédents messages, chers professeurs, la plupart du temps, vous êtes les seuls hommes qu’on côtoie, alors faut pas vous étonner d’avoir une bonne dizaine de yeux brillants face à vous… C’est l’âge. Puis c’est un peu de votre faute aussi, vous aviez qu’à être moche très cher!    Bref, je m’étale un peu, je m’en veux aussi, parce que moi-même, malgré l’ardente satisfaction personnelle d’être à contre courant, il y aura toujours une ‘tite étoile qui n’ayant pas trouvé hébergement viendra se réfugier dans mon regard bienfaisant. Ouais, on dirait bien que je suis comme tout le monde en fait.

Mais je suis méchante après réflexion. Oui, ce n’est pas à ces profs que j’en veux, je les aime bien évidemment, mais séparément, non, j’arrête avec ça. Je crois J'en suis sûre qu’ils n’y sont plus rien. J’avais oublié l’effet « sortie théâtre », un cafard pas possible au moins une fois dans la soirée (c’est fout, je ne sais même pas d’où il vient !!!). Oui, inconsciemment, je ne pouvais envisager ce genre de sortie sans l’Autre. Mouais, c’est cela. Il fallait que je le vois. Pas vu. Comment aurait-il pu y être ? Va falloir un temps de réadaptation, le théâtre, sans Lui. Voilà. Et puis d’abord, j’ai dis que je m’en fouttais de Lui, alors pourquoi j’en parle ? Pourquoi ? Parce qu’il y a l’autre stupide qui a déclaré « Oh, c’était bien, on voit bien qu’il était pas là. » Tu veux une baffe ? Deux ? Pfff le mot pourrait se heurter aux sensibilités exarcerbées.

Si j’ai fini de me plaindre ? Non. Bon, allez, j’arrête, pauvre ordi, il ne m’a rien fait, alors je vais aller travailler, sagement, gentille élève, range tes griffes va. 

Tchusss tout le monde, et bénie soit la bonne initiative de n’avoir donné l’adresse de ce site à absolument personne. Moui, s’il y a au moins quelque chose qui me satisfait, c’est moi. ;-)