Bulgarie, Albena, Malibu (Lookéa)
Bonsoir à tous ! A croire que je suis déjà partie… Voilà de nombreux jours que je n’ai rien écrit sur ce blog. Alors, que dire ? Et bien, l’été fut aux vacances, je suis rentrée hier d’une superbe semaine sur le sol bulgare que j’ai effleuré de mes pieds pour la première fois, découvrant ainsi la mer noire, étrangement très peu salée. Bon, sans faire de pub, et ce sera assez limité étant donné que je n’ai vu que Varna et Albena, détaillons un peu. Les bulgares ne sont pas si froids que les prospectus pouvaient l’annoncer, bien au contraire, j’ai trouvé que lorsqu’il s’agissait de vendre quelque chose, ils excellaient dans l’approche des étrangers… (Bon, après, le commis de cuisine, lui je pense que c’était un problème strictement physique, quoiqu’il se soit calmé vers la fin). En plus des bulgares, la bulgarie, c’est le pays de l’eau de rose, les petites poupées aux vêtements locaux qui les cachent sont charmantes. L’Eglise orthodoxe de Varna est à voir, j’ai eu l’honneur d’assister à un baptême, bien différent de
Voilà pour le général, abordons maintenant Albena. Alors, je n’avais jamais vu cela auparavant, c’est une ville-touristes, composée uniquement de clubs de vacances, un hôtel de 17 étages (un piano au 15 ème mais pas le droit d’y jouer, hum), stands à touristes (20 levas = 10€, beaucoup de bonnes affaires), de plages (même que j’ai réussi à me perdre le premier jour, ce sont des choses qui arrivent) et d’une discothèque où l’âge ne pose aucun problème (de bébé à mémé, tout le monde peut s’y aventurer et y rester jusqu’à point d’heure si l’idée dit). J’imagine que hors-saison, voici l’illustration parfaite d’une ville fantôme en Europe. Puisque nous voilà bien imbibés dans le tourisme, je suis dans l’obligation de signaler les stands de la rue principale où vous pouvez vous faire prendre en photos, costumés dans des robes genre XVII ou XVIII ème siècle. Jouissif que de se retrouver dans ces panoplies de marquises, maquillées, ornées de gants, colliers, bagues, ombrelles et évidemment merveilleux chapeaux pour mesdames (cf. profil perso pour la photo témoin, hihi). En marquis, capitaines, ou Napoléon pour messieurs. Oui, cette allée était bien sympa, surtout le soir, où l’on se retrouvait plongé dans un véritable bain de toutes nationalités (je crois qu’il va vraiment falloir que je me mette à l’allemand dans une vie prochaine, esthétiquement parlant, ils sont divinement beaux les allemands mais chut, ah Marcel, tu m’as initiée aux chefs-d’œuvre blonds aux yeux bleus… alias Alfred qui ne se reconnaitra pas car ses parents lui ont choisi un autre prénom). Niveau esthétique, la discothèque, le Tzar dans le jargon, avait bien des atouts physiques, hélas c’est tout ce qu’elle avait, et cela n’a pas réussi à me retenir plus de 10 minutes mais ceux qui aiment la fête s’y trouveront comme des poissons dans l’eau (alcoolisée oblige). Bon, je ne vais pas passer ma vie à faire des éloges, il faut aussi remarquer que les mains glissent rapidement. Mais nan, pas les mains baladeuse de l’un des animateurs et de quelques vacanciers, mais des mains voleuses. Vous laissez un objet, et bien vous pouvez être sûr que vous ne le retrouverez pas, alias Alfred sa serviette, ‘tit frère la bouée, mes lunettes… wolé… Le hall du club Malibu présente par contre un fort attrait !
Bon, cet article n’est pas comme les autres, je n’ai pas de livre à présenter car je n’ai eu que le temps d’ouvrir le Closer et ses frivolités de Marie (fort instructif hum), qu’il n’y avait qu’une seule chaîne française et que les vacances ne sont pas faites pour cela… De ce pas enthousiaste je salue donc toute la troupe, Marie, chtit bonhomme, Guillaume, Geoffrey (mon pauvre tu as eu de la chance que l’on ne se soit connu que pour deux heures ^^), les anglais (yeh, heureusement que j’ai oublié l’heure de venir vous saluer, dommage pour le « I’ll see you later » cependant), tous les autres bien sûr, et j’embrasse particulièrement Alfred pour le fun comme l’on dit.
Have a nice night !